lundi 9 août 2010

Quand tous les gens sans poésie se meurent

Le soleil m'a tapée sur le système pendant deux semaines et j'ai sans doute perdu quelques neurones dans l'aventure en cumulant avec les mojitos à répétition. J'y ai gagné en revanche de longues heures d'ennui en Provence et des coups de soleil made in Toulouse, de quoi donner envie de retrouver Paris, ma B qui est sur le retour et PP autant droguée à la menthe que moi. J'ai appris à mon coeur à ralentir un peu, pour que ce con ne me claque pas entre les doigts pendant l'hiver et à mon cerveau à se taire, pour me concentrer sur le boulot. Autant dire que l'une et l'autre des leçons ont été plutôt inefficaces puisque couplées avec du Saez à haute dose. Il parait que je devrais arrêter de l'écouter, mais comme la tournée reprend parait-il en octobre, ça vaut pas le coup. Alors tant qu'à tomber dans le traumatisme musical et littéraire (parce qu'il faut pas rêver, j'me suis encore ruinée) autant que ce soit pendant les vacances, avec un peu de chance je pourrais m'en remettre...

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