mercredi 21 avril 2010

Ain't no sunshine when she's gone...

Allez savoir si le printemps a décidé de fondre sur la blogosphère en même temps que sur les grenouilles de St Remy de provence (rapport à leurs croassements incessants), mais en ce moment c'est un peu devenu le pays des bisounours. La palme d'or revenant très certainement à Cass (et comme jsuis gentille, t'as le lien sur la droite). Du coup ça change de l'époque où W. (pour ne citer qu'elle) jouait l'insomniaque et manquait pleurer quand son bus arrivait pas, ça a beau être vachement plus cool, n'empêche que ça fait bizarre. En même temps, c'est pas comme si ça nous empêchait de picoler des tequilas sunrise géantes (n'est ce pas?) en matant rihanna bis. Vous me direz quel rapport avec le titre? C'est pas comme s'il devait y avoir un rapport mais pour le coup oui. Parce que cette aprem, en écoutant Saez j'ai eu un gros bad en me demandant ce que j'étais en train de faire, si je (ou on, c'est selon) fonçais pas juste dans le mur. Ca a peut être duré vingt minutes, et puis en sortant de mon rendez vous j'ai décidé d'arrêter de me prendre la tête, au moins jusqu'à dimanche. Parce qu'à quoi ça sert de plus être trouillarde, si on continue à se poser des questions?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire