jeudi 8 avril 2010

Eyes open

J'avais envie de vous parler de mon manque affligeant d'auto discipline en ce moment, de la montagne de boulot qui m'attend et autres joyeusetés, mais je doute qu'il y ait un quelconque intérêt à cela. Je pourrais aussi vous parler du trip caribou qui a envahi facebook, mais je crois que la moitié des gens seraient largués. Alors pour avoir un minimum de continuité avec le précédent article (mais si rappelez vous, la recherche du bonheur, bordel faut suivre!) je vais vous parler d'un truc qui en ce moment représente un obstacle majeur, la trouille. J'en vois déjà sourire en coin (non laissez tomber, je citerai personne), mais des fois ce truc vous pourrit la vie. Surtout quand elle est en contradiction totale avec d'autres sentiments. Et pour le coup ca fait quinze jours que les deux se font la guerre sans qu'aucun veuille lâcher. Une certaine lectrice me traitait il y a peu de nunuche, et c'est vrai que l'âge mental chez moi vole pas haut en ce moment (évidemment aussitôt après j'ai tendance à grandir subitement et à le regretter, d'où le fait qu'une autre lectrice m'ai qualifiée de trouillarde), tout ça parce que l'idée de faire le premier par m'a toujours terrifiée. Alors la trouille, obstacle au bonheur? Pas sûr...parce que malgré les insomnies, les questions existentielles comme dirait James Brown, I feel good.

1 commentaire:

  1. Oh si, la trouille c'est un putain d'obstacle. En tout cas pour moi. T'imagines pas comme j'ai dû tabasser la mienne pour parvenir là où je suis et avoir droit à ma petite part de sourire.

    Arrête de faire ta trouillarde un peu...

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